CNRI Femmes – Des femmes et mères militantes ayant perdu leurs enfants sous le régime des mollahs en Iran, se sont prononcés contre les
exécutions pour la Journée internationale contre la peine de mort.Dans un post sur son compte Facebook, la militante de l’abolition de la peine de mort en Iran Sholeh Pakravan a écrit: «Non aux exécutions, vive la liberté. Le 10 octobre est un jour spécial, la Journée mondiale contre la peine de mort. En raison du plus grand nombre d’exécutions dans notre pays, chaque jour peut être un jour pour protester contre cette violence absolue. Quand on voit les cous des personnes exécutées, on doit protester et demander pourquoi? Le monde doit également intervenir. La lutte contre les exécutions doit avoir la priorité sur tous les discours. Elle doit être la condition à chaque transaction pour lutter contre la peine de mort, nous avons besoin de détermination nationale. Le peuple d’Iran doit unir ses voix et dire: Stop aux exécutions. Non aux exécutions. Vive la liberté. »Shahin Mahinfar, mère d’Amir-Arshad Tajmir tué par des gardiens de la révolution dans le soulèvement de 2009, a également écrit : «L’exécution est un châtiment médiévale qui ne convient pas aux êtres humains. Notre nation qui a perdu beaucoup de ses jeunes, crie d’une seule voix: Non aux exécutions ! Non aux exécutions ! Non aux exécutions ! »