CNRI Femmes – Le Centre indien pour la recherche sociale a publié une déclaration soutenant le mouvement pour la justice lancé par la Résistance iranienne.
Le centre appelle l’ONU et d’autres organisations internationales à ouvrir une enquête sur le massacre de prisonniers politiques en Iran en 1988 et à traduire les responsables en justice.La directrice du centre Ranjana Kumari écrit: « Ce génocide a été qualifié de pire crime contre l’humanité depuis la Seconde Guerre mondiale. Les cris des victimes et de leurs familles n’ont jamais été entendus et ont en fait été maintenus dans le silence …« Beaucoup de victimes étaient âgées de 15 ou 16 ans au moment de leur arrestation et de leur jugement, et même des femmes enceintes ont été exécutées. Toutes ont été enterrées dans des charniers non marquées.« En mémoire de tous ceux qui sont tombés pour la liberté, les 30.000 exécutés de l’été 1988, je soutiens l’appel de Mme Maryam Radjavi à ouvrir une enquête sur ce massacre et demande aux Nations Unies et au Conseil de sécurité de le faire. J’espère que les auteurs seront finalement traduits en justice.« Partout où les femmes sont victimes de violence et d’injustice, le Centre indien pour la recherche sociale se tient à leurs côtés et aujourd’hui il se souvient de la résistance de toutes les femmes tuées en 1988.»