CNRI Femmes – Une femme est morte en Iran après avoir dû assister pour la troisième fois au départ de son fils pour la potence. Sous le choc et la douleur, elle a perdu la vie.Le jeune condamné accusé d’homicide a expliqué :
« La première fois que j’ai été emmené à la potence, ma mère a fait un accident vasculaire cérébral sur place. La deuxième fois que j’ai été emmené pour mon exécution, l’état de ma mère s’est détérioré et la troisième fois, ma mère est décédée. »Il a ensuite été pardonné et gracié par les parents de la victime, bouleversé par la nouvelle de la mort de sa mère. Dans l’Iran des mollahs, les parents de la victime peuvent gracier un condamné jusqu’au pied de la potence. Cependant, il arrive que les autorités passent outre et pendent tout de même les condamnés. (Agence ANA, 16 mai 2017)