Iran : des prisonnières politiques détenues dans des conditions sinistres

CNRI Femmes – Les prisonnières politiques Golrokh Iraee et Atena Daemi sont détenues en Iran dans d’horribles conditions dans un petit réduit sombre de la prison de Qarchak, privées de contacts téléphoniques et de visites familiales.

  1. Hossein Daemi, père d’Atena, a déclaré le 22 février que la vie de ces détenues est en danger. Selon lui, Atena et Golrokh Iraee (qui est toujours en grève de la faim), ne vont pas bien.

Depuis le 1er février, elles sont privées de contacts téléphoniques et de sortie dans la cour depuis le transfert des derviches dans la même section. Elles sont également privées d’achats dans le magasin de la prison et leurs conditions ressemblent à l’isolement cellulaire. En même temps, elles sont constamment surveillées par trois détenues recrutés par les autorités pénitentiaires pour les espionner.

Le 21 février, le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a lancé un appel appel aux organisations internationales à prendre des mesures urgentes et efficaces pour sauver la vie de Mme Golrokh Iraee et de M. Sohail Arabi, deux grévistes de la faim, en danger.

Le prisonnier politique Sohail Arabi, qui a été banni à la prison du Grand Téhéran, se trouve dans un état désastreux après 29 jours de grève de la faim. Haji Moradi, le cruel vice-procureur de la prison d’Evine, a déclaré que même si Sohail Arabi était au bord de la mort, il ne serait pas envoyé à l’hôpital.

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