Iran : Le manifestantes arrêtées le 8 mars informées des accusations pesant contre elles

CNRI Femmes – Les femmes arrêtées le 8 mars 2018, lors d’un rassemblement pour le 8 Mars à Téhéran, ont été informées de leurs accusations. La plupart ont été accusées d’« atteinte à la sécurité nationale ».

Certaines ont pu contacter leurs familles pour leur dire qu’elles étaient détenues dans des cellules séparées dans des conditions déplorables et que leur statut n’avait pas été déterminé.

Au moins 14 d’entre elles ont été transférées à la prison de Qarchak à Varamine.

Dans leurs contacts téléphoniques avec leurs familles, elles ont expliqué qu’elles n’avaient pas accès à l’eau ni aux équipements santitaires.

Mahshid Pour Assadi, diplômé en philosophie de la faculté Allameh de Téhéran, Marzieh Amiri, étudiante en sciences sociales à Téhéran et Atefeh Khosravi, médecin, sont actuellement détenus dans le quartier général de la prison de Qarchak.

Marzieh Amiri, militante étudiante et journaliste, avait été arrêtée pendant le soulèvement de janvier et détenue trois jours sous interrogatoire.

 

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