Intoxication alimentaire de 204 filles et garçons dans une école en Iran

Intoxication alimentaire de 204 filles et garçons dans une école en Iran

CNRI Femmes – 204 filles et garçons d’un pensionnat d’Esfarayen en Iran ont été hospitalisés en raison d’une intoxication alimentaire.

Dans une interview accordée à l’agence de presse IRNA, Taher Rostami, gouverneur d’Esfarayen, a annoncé le 25 février 2019 que 175 de ces élèves ont été envoyés aux urgences médicales où ils ont été traités en ambulatoire et 29 autres ont été hospitalisés.

Le directeur de l’École des sciences médicales d’Esfarayen a annoncé que seulement 14 élèves, garçons et filles, avaient été empoisonnés lundi matin. Mais ce chiffre a finalement atteint jusqu’à 204 enfants. L’un des étudiants empoisonnés admis à l’hôpital a des antécédents de maladie cardiaque.

En ce qui concerne l’intoxication, Rostami a déclaré : « Nous attendons le résultat de l’analyse sur la consommation alimentaire des élèves qui a été servie pour le dîner de la nuit précédente. Jusqu’à présent, la cause annoncée est une intoxication alimentaire. La nourriture de la pension des élèves est fournie par une cuisine centralisée du ministère de l’Éducation. Les élèves ont eu de la purée de pommes de terre pour le dîner d’hier soir. »

L’agence de presse officielle IRNA a également déclaré dans une dépêche le 25 février que le recteur d’Esfarayen n’avait pas répondu à cette question et qu’elle n’avait pas pu obtenir de résultats car il ne répondait pas à son téléphone.

Le mardi 29 janvier 2019, 25 élèves filles ont été intoxiquées par une fuite de monoxyde de carbone à l’école primaire de Payame Hedayat à Bam.

De plus, le 21 janvier 2018, 23 lycéennes de Machad ont été empoisonnées dans leur établissement par le chauffage de leur classe qui émettait du monoxyde de carbone. C’est ce qu’a annoncé Pir Hossein Kolivand, chef des urgences nationales. Il a dit que le tuyau d’évacuation du gaz hors de la pièce avait été bloqué et que le gaz s’était répandu dans la classe. (Agence de presse ROKNA du 21 janvier 2018)

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