Des femmes éprises de liberté défilent à Racht pour protester contre le régime

Des femmes éprises de liberté défilent à Racht pour protester contre le régime

Des femmes éprises de liberté défilent à Racht pour protester contre le régime

Des femmes éprises de liberté ont marchés dans les rues de Racht, la capitale de la province de Gilan, dans le nord de l’Iran, et ont scandé des slogans hostiles au régime. Elles ont protesté contre la vague d’exécutions perpétrées par le régime iranien au cours du mois dernier.

Le régime des mollahs a exécuté au moins 122 prisonniers au cours du seul mois dernier, dont trois manifestants arrêtés en novembre dernier lors des manifestations en Iran.

Les femmes de Racht, éprises de liberté, ont scandé des slogans, jurant de rester fidèles aux martyrs tombés lors des manifestations en Iran et de poursuivre leur chemin jusqu’au bout.

Les femmes éprises de liberté de Racht ont scandé : “A bas le dictateur”, “A bas le régime des exécutions“, “Notre silence serait une trahison et une complicité dans le crime“, “Pauvreté, corruption, prix élevés, nous continuerons jusqu’à ce que le régime soit renversé”, “Le régime des exécutions est à bout de souffle”, “Les potences, les exécutions, la torture ne sont plus efficaces”, “Si nous ne nous unissons pas, ils nous tueront les uns après les autres”.

Manifestation des épargnants spoliés

Les épargnants spoliés ont organisé un rassemblement devant le ministère de l’industrie, des mines et du commerce à Téhéran le lundi 22 mai 2023, et ont protesté contre la société Ramak Khodro qui n’a pas livré les voitures qu’ils avaient payées il y a six ans.

Ils ont scandé : “Ramak vole et le gouvernement le soutient”.

Ils ont déjà manifesté à plusieurs reprises pour demander le remboursement de leurs paiements. Les manifestants ont déclaré que le système judiciaire corrompu n’avait pas donné suite à leurs plaintes concernant cette affaire de fraude.

Les épargnants spoliés ont payé 75 millions de tomans en 2017 pour acheter des voitures. Selon le verdict du tribunal, ils devraient être remboursés à hauteur de 900 millions de tomans, mais cela ne s’est pas produit.

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