Azadeh Zarbi était l’une des jeunes manifestantes abattues par les gardiens de la révolution islamique lors du soulèvement de novembre 2019.
Azadeh Zarbi vivait à Shahriar et a étudié à l’université Azad de Shahr-e-Qods (Ghal’eh Hassan Khan).
Ghal’eh Hassan Khan, en banlieue de Téhéran, a été l’un des foyers des manifestations de novembre 2019 en Iran, où au moins 9 personnes tuées par les forces de sécurité, ont été identifiées.
Azadeh a été retrouvée morte, la gorge transpercée par une balle.
Son corps sans vie a été restitué à sa famille au bout de plusieurs jours de retard après qu’ils aient forcé ses proches à s’engager à ne pas rendre publique la manière dont elle avait été tuée.
En raison des conditions extrêmement répressives et des efforts du régime pour dissimuler ses crimes contre l’humanité, aucun autre détail n’est disponible à son sujet.