Une ouvrière a perdu la vie après avoir été entraînée dans une machine à confiserie

Une ouvrière a perdu la vie après avoir été entraînée dans une machine à confiserie

Une ouvrière a perdu la vie après avoir été entraînée dans une machine à confiserie

Une ouvrière de 40 ans a perdu la vie après avoir été entraînée dans une machine à confiserie. L’incident s’est produit dans une pâtisserie de Babol, dans la province de Mazandaran, au nord de l’Iran.

Le service des incendies de Babol a annoncé que l’accident s’est produit dans la matinée du 8 mai 2022. Les secouristes présents sur les lieux ont découvert qu’un morceau de vêtement de la victime était coincé dans la machine, et l’ont tirée à l’intérieur. Malheureusement, elle a suffoqué sur le coup et a perdu la vie.

Un incident similaire s’est produit en novembre 2021 dans une usine textile située à l’est de Semnan.

Marzieh Taherian travaillait sur une machine à filer les anneaux dans l’usine textile Kavir Semnan lorsque cet horrible accident s’est produit le 6 novembre 2021. L’usine est située dans le canton industriel de Semnan, dans le centre-est de l’Iran.

Marzieh Taherian n’avait que 21 ans. Ses collègues de travail ont déclaré qu’au départ, son couvre-chef était coincé dans la machine, mais qu’immédiatement après, sa tête était également tirée. (The state-run ILNA – 7 novembre 2021)

De nombreuses jeunes femmes doivent travailler dans les unités de production pour atténuer la pression économique sur leur famille et aider leurs parents. Elles doivent supporter les dures conditions de travail dans les ateliers et les usines. (L’agence de presse officielle IRNA – 3 mai 2018)

Certains experts ont qualifié les conditions intolérables des travailleuses dans les unités de production de “nouvel esclavage.” Les bas salaires et le manque de sécurité de l’emploi font partie des problèmes auxquels sont confrontées les travailleuses en Iran. Les conditions de travail des travailleuses iraniennes sont très différentes de celles de leurs homologues masculins. Elles n’ont pas accès à des emplois décents ni à l’égalité des droits et des chances.

Les femmes sont contraintes d’accepter n’importe quel emploi mal payé et les conditions de travail difficiles dans les petits ateliers, qui ne sont pas contrôlés par le ministère du travail et ne respectent pas le droit du travail. Les personnes qui travaillent dans ces ateliers sont donc privées de soutien juridique, d’avantages, d’assurance et de sécurité.

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