La prisonnière politique Zohreh Sarv a contracté une maladie infectieuse à la prison d’Evine

La prisonnière politique Zohreh Sarv a contracté une maladie infectieuse à la prison d'Evine

La prisonnière politique Zohreh Sarv a contracté une maladie infectieuse à la prison d’Evine

La prisonnière politique Zohreh Sarv a contracté une maladie infectieuse à la prison d’Evine et s’est vu refuser l’accès aux soins médicaux et le droit au traitement.

La prisonnière politique Zohreh Sarv est une activiste en ligne qui est détenue à la prison d’Evine avec une peine de 5 ans de prison.

Selon une source informée de la maladie de Zohreh Sarv, celle-ci “a récemment contracté une forme de maladie infectieuse et, en raison de la propagation de la maladie dans son corps, elle ne peut même pas s’injecter une troisième dose du vaccin contre le coronavirus. Si elle est également infectée par le Coronavirus, elle perdra la vie.”

La source a ajouté : “Les autorités de la prison d’Evine ont promis d’envoyer Zohreh Sarv à l’hôpital le 20 août 2022, en raison de son état critique.”

L’activiste en ligne a été arrêtée le 24 décembre 2019 par des agents des renseignements du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) pour avoir prétendument opéré dans le cyberespace et géré une page Instagram. Après avoir été transférée au quartier 1A et pendant les procédures d’interrogatoire et de mise en accusation, elle a été transférée à la prison de Qarchak le 11 janvier 2020.

La prisonnière politique Zohreh Sarv a été condamnée à une amende et à 74 coups de fouet pour possession de boissons alcoolisées. La sentence a été prononcée par la branche 2 du tribunal pénal de Téhéran. Zohreh a été fouettée 74 fois le 5 avril 2021. Avant cette date, elle devait payer une amende au lieu d’être fouettée. Cependant, après avoir payé l’amende et remis le reçu à la Division de l’application des peines, elle a découvert que son dossier avait déjà été classé.

La prisonnière politique Zohreh Sarv a été condamnée à huit ans d’emprisonnement par la branche 26 du tribunal révolutionnaire de Téhéran pour “insulte à la direction, propagande contre l’État, rassemblement et collusion dans l’intention d’agir contre la sécurité du pays”. La Cour d’appel de la province de Téhéran a rendu la sentence définitive en la fixant à 5 ans d’emprisonnement.

La méthode typique du régime pour faire souffrir les prisonniers jusqu’à la mort en Iran

Faire souffrir à mort les prisonniers politiques est une méthode bien connue du régime iranien. Le Conseil National de la Résistance Iranienne (CNRI) appelle une fois de plus les Nations Unies et les organisations des droits de l’homme à envoyer une délégation internationale pour visiter les prisons iraniennes et rencontrer les prisonniers, en particulier les prisonniers politiques. La Résistance iranienne demande en outre à ces organismes internationaux de prendre des mesures immédiates pour sauver la vie des prisonniers qui risquent d’être exécutés et de ceux qui sont malades et soumis à la torture.

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